I) Dosages par étalonnage :
1) Dosage avec un spectrophotomètre :
- on mesure l'absorbance de plusieurs solutions étalons afin de tracer la courbe d'étalonnage en fonction de la concentration ( on sait que A = K * C ). Puis on retrouve la concentration en soluté de la solution inconnue en mesurant son absorbance et on peut donc contrôle sa qualité.
2) Dosage avec un conductimètre :
- on mesure la conductivité de plusieurs solution étalons afin de tracer la courbe d'étalonnage en fonction de la concentration ( loi de Kohlrausch : la conductivité est égale à la concentration * la conductivité molaire ionique, notée Lambda et propre à chaque espèce ionique). Puis on retrouve la concentration en ions de la solutions inconnue en mesurant sa conductivité et on peut donc contrôlé sa qualité.
II) Dosage par titrage direct :
- technique de dosage mettant en jeu une réaction chimique totale, rapide et unique. On fait fait réagir l'espèce chimique à doser ( titrée ) avec une autre de concentration connue ( titrante ).
- l'équivalence d'un titrage est atteinte lorsque les solutions titrante et titrée ont été introduites en proportions stœchiométriques. On observe alors différentes réaction selon la technique utilisée.
1) titrage ph-métrique :
- la réaction est acido-basique.
- l'équivalence est repérée par une brusque augmentation du pH pour différents volumes de solutions titrantes successifs.
- pour repérer LE volume de l'équivalence, il existe 2 méthodes :
* on trace deux tangentes à la courbe d'étalonnage, au début et à la fin du saut de pH puis une troisième droite équidistante et parallèles aux deux premières. L’abscisse du point d'intersection entre cette troisième droite et la courbe d'étalonnage est le volume d'équivalence.
* à l'aide d'un logiciel, on trace la courbe dérivée de la courbe d'étalonnage . On observe un extremum sur cette courbe au niveau de l’abscisse. Cet abscisse correspond au volume à l'équivalence.
2) Titrage colorimétrique :
- si une des solutions est colorée alors on observe un changement de couleur lors de l'équivalence; sinon on peut rajouter un indicateur coloré de fin de réaction. L'équivalence se repère par un changement de couleur de la réaction.
3) Titrage conductimétrique :
- avec des solutions ioniques.
- lorsqu'une des solutions est ionique, on mesure la conductivité de la solution finale en fonction du volume de réactif ajouté, lorsque la conductivité change de sens de variation alors on est à l'équivalence.
1) Dosage avec un spectrophotomètre :
- on mesure l'absorbance de plusieurs solutions étalons afin de tracer la courbe d'étalonnage en fonction de la concentration ( on sait que A = K * C ). Puis on retrouve la concentration en soluté de la solution inconnue en mesurant son absorbance et on peut donc contrôle sa qualité.
2) Dosage avec un conductimètre :
- on mesure la conductivité de plusieurs solution étalons afin de tracer la courbe d'étalonnage en fonction de la concentration ( loi de Kohlrausch : la conductivité est égale à la concentration * la conductivité molaire ionique, notée Lambda et propre à chaque espèce ionique). Puis on retrouve la concentration en ions de la solutions inconnue en mesurant sa conductivité et on peut donc contrôlé sa qualité.
II) Dosage par titrage direct :
- technique de dosage mettant en jeu une réaction chimique totale, rapide et unique. On fait fait réagir l'espèce chimique à doser ( titrée ) avec une autre de concentration connue ( titrante ).
- l'équivalence d'un titrage est atteinte lorsque les solutions titrante et titrée ont été introduites en proportions stœchiométriques. On observe alors différentes réaction selon la technique utilisée.
1) titrage ph-métrique :
- la réaction est acido-basique.
- l'équivalence est repérée par une brusque augmentation du pH pour différents volumes de solutions titrantes successifs.
- pour repérer LE volume de l'équivalence, il existe 2 méthodes :
* on trace deux tangentes à la courbe d'étalonnage, au début et à la fin du saut de pH puis une troisième droite équidistante et parallèles aux deux premières. L’abscisse du point d'intersection entre cette troisième droite et la courbe d'étalonnage est le volume d'équivalence.
* à l'aide d'un logiciel, on trace la courbe dérivée de la courbe d'étalonnage . On observe un extremum sur cette courbe au niveau de l’abscisse. Cet abscisse correspond au volume à l'équivalence.
2) Titrage colorimétrique :
- si une des solutions est colorée alors on observe un changement de couleur lors de l'équivalence; sinon on peut rajouter un indicateur coloré de fin de réaction. L'équivalence se repère par un changement de couleur de la réaction.
3) Titrage conductimétrique :
- avec des solutions ioniques.
- lorsqu'une des solutions est ionique, on mesure la conductivité de la solution finale en fonction du volume de réactif ajouté, lorsque la conductivité change de sens de variation alors on est à l'équivalence.
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